Zaslavl
Zaslavl est située sur la ligne ferroviaire Minsk-Molodetchno à environ une demi-heure de la capitale.
A l’entrée du bourg se trouvent réunies trois habitations traditionnelles de la fin du XIXe siècle reconstituées selon les maisons traditionnelles de Russie blanche.
Je pénétrai dans la pièce discrètement éclairée par une lampe à pétrole reconvertie par les circonstances en lampe électrique. Cette isba, comme les autres, est entièrement meublée et restitue l’ambiance campagnarde qui pouvait y régner un siècle auparavant. Par ici se trouve un samovar posé sur une épaisse table en bois massif dressée devant les banquettes-lits et par-là, un four traditionnel et un vaisselier entièrement garni. Un escalier grinçant me mène au premier étage où se trouve un moulin à grains. Seule l’absence de quelques moujiks nous ramène à la réalité.
La ville s’étend sur une colline et possède deux belles églises. La première est catholique et malgré une façade à la peinture écaillée elle se dresse fièrement dans le ciel dégagé. La seconde, orthodoxe se trouve à proximité des ruines d’un château entouré d’une légende mystérieuse, dont seules des traces restent visibles. L’église est cernée d’un curieux talus de hauteur variable.
A l’entrée du bourg se trouvent réunies trois habitations traditionnelles de la fin du XIXe siècle reconstituées selon les maisons traditionnelles de Russie blanche.
Je pénétrai dans la pièce discrètement éclairée par une lampe à pétrole reconvertie par les circonstances en lampe électrique. Cette isba, comme les autres, est entièrement meublée et restitue l’ambiance campagnarde qui pouvait y régner un siècle auparavant. Par ici se trouve un samovar posé sur une épaisse table en bois massif dressée devant les banquettes-lits et par-là, un four traditionnel et un vaisselier entièrement garni. Un escalier grinçant me mène au premier étage où se trouve un moulin à grains. Seule l’absence de quelques moujiks nous ramène à la réalité.
La ville s’étend sur une colline et possède deux belles églises. La première est catholique et malgré une façade à la peinture écaillée elle se dresse fièrement dans le ciel dégagé. La seconde, orthodoxe se trouve à proximité des ruines d’un château entouré d’une légende mystérieuse, dont seules des traces restent visibles. L’église est cernée d’un curieux talus de hauteur variable.
Commentaires